çukur épisode 60 (27 saison 02) résumé complet

Dans cet épisode 60 de çukur, qui correspond à l’épisode 27 de la saison 2) des évènements tragiques vont se dérouler.
Salih et Medet vont voir le contact de Ali Cevher, celui-ci leur donne l’adresse ou Mahsoun a été vu pour la dernière fois. Salih transmet immédiatement l’adresse à Yamaç.

Mahsoun retourne à la maison et trouve que la porte a été ouverte et que Sena ne se trouve plus dans la maison. Il reconnaît la voiture de l’homme à la bague qui s’en va. Il part à sa poursuite. Yamaç et Selim arrivent et reconnaissent à leur tour la voiture de Mahsoun. Selim descend du véhicule pour vérifier si Sena ne se trouve pas dans la maison alors que Yamaç part à la poursuite du véhicule de Mahsoun.

L’homme à la bague prévient Mahsoun que Yamaç le suit. Yamaç parvient à rattraper Mahsoun. Les deux hommes se battent puis Mahsoun s’enfuit et part en voiture.

L’homme à la bague enferme Sena dans un bac à moitié rempli d’eau.

Mahsoun, qui suit la trace de l’homme à la bague retrouve Sena. Elle se trouve dans un club. Elle est enfermée dans une boîte remplie d’eau. Yamaç retrouve la trace de Mahsoun et arrive lui aussi sur les lieux.

Mahsoun tente d’ouvrir la boîte, mais n’y parvient pas. Lorsqu’Yamaç arrive, il aperçoit Mahsoun, mais pense qu’il a enlevé Sena, il lui tire donc dessus. Mahsoun tombe au sol.

Yamaç se rend compte que Sena est enfermée et le bac se remplit d’eau. Il tire sur le bac, sans succès. Le bac est fait dans un matériau en verre résistant. Il tente d’ouvrir la trappe d’accès, mais n’y parvient pas.

Yamaç voit Sena étouffer. Il ne peut rien y faire.

Il la voit rendre son dernier souffle. Sena meurt noyée.

Damla fournit à Gumali la localisation d’Yamaç (à partir de la localisation de son téléphone)

Lorsqu’Yamaç reprend ses esprits, il s’aperçoit que Mahsoun s’est enfui, il suit les traces de sang et le retrouve sur le toit du bâtiment.

Mahsoun dit à Yamaç :

« je n’ai pas fait ça… je ne lui ferais pas de mal… je l’aime… »

Yamaç se jette sur Mahsoun et l’entraîne avec lui dans le vide. Il saute du bâtiment et ils atterrissent sur le toit d’une voiture. Mahsoun meurt

Selim et Gumali arrivent sur les lieux et voient les voitures d’Yamaç et Mahsoun. En entrant dans le club, ils voient Yamaç portant le corps de Sena dans ses bras.

Meliha est relâchée. Elle tente d’appeler Idriss, mais celui-ci ne répond toujours pas à ses appels. Elle lui envoie un message en lui disant, que c’est très important et que cela concerne Sena.

Mais, alors qu’elle tentait de lui expliquer, Gumali et Selim arrivent en voiture devant le café de Çukur, avec Yamaç tenant le corps de Sena dans ses bras.

Tout le monde pleure. Ils amènent le corps de Sena à l’hôpital de Çukur. Yamaç est en état de choc. Aliço lui explique qu’il faut la laisser partir, et lui dire adieu.

Le lendemain, le corps de Sena est transporté dans Çukur pour l’enterrement.

Ujar est présent à la veillée funéraire. Il s’installe devant Salih qui tient dans ses bras son fils Idris. Il lui demande : « c’est l’unique descendant d’Idriss Koçovali ? » Salih lui répond que non et lui explique qu’il y a aussi Akin qui est en prison. Ujer lui demande s’il s’agit du fils de Gumali. Salih lui dit que non, il s’agit du fils de Selim.

Damla et Gumali s’en veulent de ne pas avoir empêché la disparition de Sena, elle était sous la responsabilité de Gumali. Sultane leur dit que ce n’est pas leur faute.

Gumali se rend chez Yildiz. Il s’en veut. Il explique à Yildiz que Sena était sous sa protection a lui lorsqu’elle s’est faite enlevée.

Yamaç, toujours choqué a des hallucinations. Il voit Sena et discute avec elle. Le lendemain, il dit à son père :

« c’est fini… Je n’ai plus rien à vous donner à toi ou à Çukur »

Çukur est un lieu qui ne sort pas de toi, mais quand tu y entres, elle ne laisse rien, ni espoir, ni amour, absolument rien… je le savais, je n’aurai jamais dû revenir.

« Je ne suis plus ton fils, je ne suis plus un Koçovali. »

Yamaç dit à son père : « Je ne suis pas toi je ne serai pas toi, cet homme dur, fort… les gens te respectent, mais surtout ils ont peur de toi… parce que tu es un homme prêt à tout… je commence à avoir peur de te ressembler… alors laisse-moi »

Mujahid ainsi que Gumali Selim et Salih doivent rencontrer ceux qui leur ont volé la marchandise.

Yamaç qui s’apprêtait à quitter Çukur est interpellé par Sadet. Qui demande à ce qu’Yamaç lui fasse des excuses. Yamaç se retourne, se dirige vers le groupe d’hommes, prend une arme et tire une balle dans la tête de Sedat. Selim sait que cela va donner lieu à de gros problèmes dans Çukur

Alors qu’Idriss sort de la maison, il croise Meliha, qui venait chez eux. Elle lui dit qu’ils doivent parler d’une chose très importante.

Reiss Uluç va voir les Koçovali et leur demande si tout s’est bien passé avec ceux qui avaient pris les pierres, mais il apprend qu’Yamaç a tué Sedat. (Reiss et Uluç se regardent discrètement. On comprend alors qu’ils travaillent ensemble.)

Reiss pose des questions à Mujahid et apprend l’identité de l’acheteur des pierres

Meliha informe Idriss que des hommes attendaient devant chez elle qu’ils l’ont emmené voir un homme qui s’appelle Baykal.
Elle lui montre la photo qu’ils lui ont donnée et lui transmet le message de Baykal :

« si Yamaç veut savoir ce qui est arrivé à sa femme qu’il regarde dans le passé. »

Idriss ne comprend pas, mais Meliha lui dit qu’elle ne comprenait pas puis qu’elle s’est ensuite rappelée Edib, l’homme assis à l’arrière-plan de la photo.

Idriss rappelle à Meliha que l’homme est mort, et que c’est une histoire vieille de 30 ans. Meliha lui dit que même s’il est mort Edib a une famille, une femme des enfants… Yamaç doit savoir

Yamaç va voir Aliço et lui dit qu’il part et qu’il quitte Çukur.

Aliço lui dit à sa manière qu’où qu’il aille, elle viendra toujours avec lui. Qu’elle sera toujours là, où qu’il aille !

Yamaç explique à Aliço que s’il part, Çukur ne changera pas ; mais s’il reste, c’est lui qui changera. Aliço lui donne un livre afin qu’il ne reste pas seul. Un livre de Sophocle : œdipe roi.

Idriss demande à Selim de trouver Yamaç. Selim se doute qu’il se trouve chez Aliço.
Idriss dit à Yamaç : « nous devons parler ; cela concerne Sena. »
Il lui montre la photo et lui explique que Meliha a été emmenée chez Baykal. Et qu’on lui a remis cette photo et que tout cela est lié au décès de Sena :

« Si Yamaç veut savoir ce qui arrivé à Sena, qu’il regarde en détail cette photo. »

Yamaç refuse d’entendre et lui dit qu’il sait comment Sena est morte puisqu’elle est morte sous ses yeux. Et qu’il sait qui est responsable ! (Mahsoun).

Idriss lui dit que l’homme sur la photo a laissé un fils après sa mort et que peut-être les choses ne sont pas ce qu’elles paraissent être. Yamaç s’en va malgré tout.

Salih dit à Selim : « c’est mieux s’il part, il n’est pas comme nous… il est trop blanc ». (propre au sens pur).

Yamaç déambule dans les rues de Çukur, et se remémore des souvenirs de Sena dans Çukur (le jour où elle s’est sentie appartenir à Çukur).

Un habitant de Çukur vient voir Yamaç et lui demande de le suivre.
Il noie son chagrin avec eux. Yamaç va finir par prendre un taxi et sortir de Çukur.

Mujahid se rend chez l’acheteur de pierres, mais une fois arrivé sur place, il trouve l’acheteur mort. (Reiss avait transféré l’information à l’homme à la bague, et c’est Remzi qui s’est chargé de la tâche.

Mujahid et Idriss comprennent que l’on va faire porter aux Koçovali la responsabilité de ce meurtre. Meliha quant à elle, recherche un document et retrouve une coupure de journal de l’époque qui parle d’un meurtre dans le cabaret.

À la fin de l’épisode 27, saison 2 de Çukur, Yamaç se trouve assis sur un banc quelque part dans Istanbul, loin de Çukur. Une enveloppe noire est déposée devant lui sans qu’il s’en rende compte. À l’intérieur de cette enveloppe se trouve une ancienne invitation à un spectacle de Meliha dans le pavillon Gul.

Or, toute la mise en scène, et la mort de Sena, ont eu lieu dans le pavillon Gul. Yamaç se souvient de Mahsoun qui le suppliait et lui disait que ce n’était pas lui qui avait tué Sena, car il l’aimait et ne pouvait pas lui faire de mal.

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